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Á la manière de la Joconde

C’est l’événement artistique de l’année !

Depuis le 24 octobre 2019, le musée du Louvre organise une exposition exceptionnelle consacrée à Léonard de Vinci : un corpus d’oeuvres uniques, en complément des tableaux et dessins du maître italien, déjà présents au Louvre. L’année 2019 marque le cinquième centenaire du décès de l’artiste, à Amboise.

En parlant de Léonard, si nous en profitions pour réinventer La Joconde ?!

De nombreux artistes se sont déjà prêtés au jeu, nous vous proposons quelques exemples :

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Observons d’abord bien Mona Lisa sous toutes les coutures, puis essayons de la réinventer nous aussi (libre à nous de choisir la technique utilisée ) !

Pour vous aider, il y a les traits et la posture de la Joconde à télécharger dans Jolicours 🙂

Du 24 octobre 2019 au 24 février 2020, c’est la période où sera dévoilée, au Musée du Louvre, l’exposition exceptionnelle consacrée à Léonard de Vinci !

Á la manière de René Magritte

Magritte est un peintre belge du mouvement surréaliste. Il nait le le 21 novembre 1898 à Lessines en Belgique dans une famille très modeste. De 1916 à 1918, il étudie la peinture à l’Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles puis travaille comme graphiste dans une usine de papiers peints.
Vers 1920, il découvre le cubisme et le futurisme, puis le surréalisme, plus particulièrement à travers l’oeuvre de Giorgio de Chirico. Arrivé à Paris en 1927, Magritte rencontre André Breton, Max Ernst, Salvador Dalí et Paul Eluard.

Ses peintures jouent souvent sur le décalage entre un objet et sa représentation. Photographe, écrivain, poète, Magritte traverse les courants surréaliste et impressionniste. Il adore jouer avec les couleurs et les mots. « L’art de peindre est un art de penser« , expliquait-il. Les titres de ses tableaux sont ainsi toujours à double sens. Par exemple, un de ses tableaux les plus célèbres est une image de pipe sous laquelle figure le texte « Ceci n’est pas une pipe« . Il s’agit en fait de considérer l’objet comme une réalité concrète et non pas en fonction d’un terme à la fois abstrait et arbitraire.

Entre 1943 et 1945, Magritte revient à la technique impressionniste. On parle de sa période Renoir. Sa peinture est alors reconnue et des livres sont publiés sur son œuvre. En 1948, il traverse une période dite Vache, pendant laquelle il peint une quarantaine de tableaux aux couleurs criardes. En 1954, à Bruxelles, une exposition rétrospective retrace son œuvre. Mais ce sont surtout les collectionneurs américains qui vont assurer le succès international de Magritte.

En 1965, il inaugurera lui-même sa rétrospective au Muséum Of Modern Art de New-York. Magritte meurt le 15 août 1967 âgé de 69 ans à Bruxelles, après avoir peint plus de mille tableaux. Il est reconnu comme le peintre belge le plus important du 20 éme siècle et son œuvre exerça une influence certaine sur le Pop Art ou l’art conceptuel.

Nous vous proposons aujourd’hui de réaliser un portrait surréaliste à la manière de Magritte.

Les objectifs seront d’imaginer ce qu’il y a à l’intérieur d’un personnage, ses rêves, ses pensées … Cela en créant un dégradé de couleurs à la peinture et en imaginant un paysage …

L’oeuvre de référence sera l’heureux donateur, oeuvre réalisée en 1966.

 

Exemple de réalisation sur tablette avec Notebook 2016, et son outil pinceau. Arbre : wwww.jolicours.com

Vous pouvez télécharger le gabarit du personnage ici, ou  avec un fond noir, afin de vous aider dans votre composition.

Entrez dans un tableau de Salvador Dalí

Qui n’a jamais rêvé de déambuler dans un tableau … ?

The Dalí Museum de St Petersburg en Floride propose à ses visiteurs de plonger dans l’oeuvre surréaliste Réminiscence archéologique de l’Angélus de Millet, réalisée par l’excentrique artiste catalan en 1935.

Ce fantastique projet a été mis au point par Sam Luchini et Roger Baran qui ont saisi le potentiel de la réalité augmentée dans le monde de l’art. Grâce à des casques de réalité virtuelle (Oculus Rift), vous pénétrez dans un monde plus vrai que nature. Quand Dalí repris l’Angélus peint en 1859 par Millet, il y mit toute sa folie et ses pulsions paranoïaques, cette oeuvre l’angoissait et le fascinait. Réinterprétée selon son imagination et revisitée en 3D, l’oeuvre n’en devient que plus ensorcelante.

En attendant de pouvoir vivre cette incroyable expérience, profitez de la vidéo à 360 ° (n’oubliez pas de naviguer avec les flèches).

Nous avons hâte de vous la faire découvrir sur un grand VPI lors d’un futur salon !